signes sur les monts ou la mer immense traces en nos cœurs de fils invisibles
Traces
jeudi 24 avril 2014 § 2 commentaires
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- auteur: philippe
- commentaire(s) : 2
- catégories : quatrains
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Je me souviens si bien d’avoir regardé les montagnes que j’aime tant et d’avoir pensé à une mer arrêtée, et de l’émerveillement que fut, lorsque j’étais enfant, de trouver des fossiles de vies maritimes bien au-dessus du niveau de la mer … votre quatrain me plonge dans une rêverie heureuse. Puis je reviens à lui, me demandant si je l’ai bien compris. Comme lorsque je regardais ce coquillage incrusté dans la pierre au sommet d’une montagne, et je me demandais si j’avais bien compris. Même étonnement émerveillé et incrédule.
Grand merci Isabelle, c’est toujours une joie (et aussi une surprise) que les mots fragiles d’un poème puissent ainsi résonner dans l’esprit d’un(e) autre. Je pars le plus souvent d’une émotion et je m’efforce de la porter à un niveau autre, plus général. Du coup c’est la lecture qui (parfois) élucide le dit du poème, que je ne maîtrise pas moi-même et qui une fois formulé, devient une évidence.