allongement imperceptible des jours attente vaine de l'hiver tardif lumière rasante portant les ombres en signes vagues sur les arbres chauves un silence incroyable que seuls troublent le cri du chocard, les cracs des fougères nos pas hésitants guettent les pensées des monts indifférents à nos destins
Sur les crètes du Cantau au Berbeillet
mercredi 23 décembre 2015 Commentaires fermés sur Sur les crètes du Cantau au Berbeillet