Depuis que les quatrains inspirés de ceux de l’ère Tang rythment mon écriture, je vois des pentasyllabes partout. Dans les annotations sur l’espace non datées d’André du Bouchet, lecture recommandée par François Bon (gratitude), l’un deux m’a sauté aux yeux : « air compact cassant ». Pourquoi donc ne pas lui adjoindre trois compagnons ?
air compact cassant cri de peau glacée et de toi les traces notées sur la neige