masses indistinctes le noir des montagnes et celui du ciel à peine bleuissant un rien les sépare ce n'est pas un trait juste deux moitiés d'univers nocturne en taches éparses l'éclairci des neiges et le ciel soudain délavé de blanc bientôt le bleu les traînées rougies les jeux des enfants appellent le jour
Lisant La langue géniale d’Andrea Marcolongo, j’expérimente l’impossible importation poétique du duel du grec ancien – un plus un égale un formé de deux choses, dit-elle – en notre langue d’où il est absent.