Les poèmes brefs de @larosaturca (voir celui-ci sur son site) continuent à éveiller en moi le démon de la traduction1
Dis — sigillare
il fuoco e
il ferro
dov’era il solco
del cuore
impresso a vivo
nella pelle nuda tra-durre umide
zolle
sul calcinato
di croste.
Dé-sceller le feu et le fer au sillon du coœur imprimé à vif dans la peau nue trans-poser des mottes de terre humides sur les croûtes calcinées
- Invoqué ici explicitement, même si j’ai dû m’en éloigner un peu en travestissant « tra-durre » en « trans-poser ». [↩]
Grazie Philippe,
Sono toccata dalla naturalezza del modo in cui le parole – le tue, le mie ? – corteggiano insieme l’accadere delle « cose »…
Una traduzione felice !
rosaturca